Confinement Naturo (Jour 21) – Un dernier petit dessert ?

Bonjour chers amis confinés !

Pour cette 21e lettre, je tiens tout d’abord à m’excuser : l’auteur original de la citation que je vous ai partagée hier n’est pas Laurent Gounelle, mais Marc Aurèle J. (merci à mes lecteurs vigilants et instruits).

Comme je m’y étais engagée, je poursuis notre challenge « 0 sucres pendant le confinement ».
C’est important, essayer de le relever : aujourd’hui les statistiques montrent bien que les personnes en surpoids sont bien plus à risque que les autres dans cette pandémie. Aussi, si vous êtes sensible aux petites douceurs… soyez attentif à cette deuxième lettre sur le sujet.

Je me demande d’abord ce que vous avez pensé du petit déjeuner salé ? cela a-t-il retardé vos envies de sucre ?

Je vous propose désormais de « commencer à essayer d’éviter » (on y va en douceur, mais on y va !) les desserts. Comme nous l’avons vu, le sucre appelle le sucre et c’est finalement une bien étrange coutume que de terminer un repas par du sucre… puisque qu’il nous donnera envie d’y revenir rapidement.

Chez nous, dans notre foyer, le dessert n’existe pas … et mes filles n’en réclament pas (sauf après une semaine passée chez les grands parents). Nous terminons généralement notre repas sur le plat principal, ou éventuellement sur une salade, une petite tartinade salée (genre houmous, caviar d’aubergine, tapenade).
Et l’on se rend compte finalement que ce n’est qu’une question d’habitude.
« Mais justement, me direz-vous, les habitudes ont la vie dure. »
Si c’est difficile, allez-y en douceur, respectez vous ! ce sera toujours mieux qu’un gros craquage !

Quelques conseils

Vous pouvez par exemple manger un fruit 20 minutes avant de prendre votre repas. Il sera rapidement digéré, et vous apportera tous ses bienfaits, et une petite dose de sucre. A l’inverse, un fruit en fin de repas va rester beaucoup plus longtemps dans votre estomac avec le reste de votre bol alimentaire et risque bien de commencer à fermenter avant d’atteindre votre intestin, ce qui risque d’engendrer d’autres complications (fabrication d’alcool, ballonnements, malabsorption des minéraux, …).

J’entends souvent dire que c’est difficile de ne pas terminer son repas par une note sucrée. En effet, il va falloir ruser pour déshabituer votre organisme à ce rituel du dessert, et certains y parviendront plus facilement que d’autres.
Pour ma part, j’aime terminer mon repas par une petite boisson chaude, de la taille d’un café allongé. Vous pouvez vous préparer une chicorée, une infusion de romarin ou de gingembre (à éviter le soir), de menthe verte ou d’anis étoilé. Vous pouvez également opter pour la goutte de menthe poivrée (comme conseillé dans ma 5e lettre).
Si c’est insuffisant pour vous, prenez le avec un petit carré de chocolat noir à 70% minimum, que vous essayerez au fur et à mesure d’éviter.
Enfin, pour ceux qui ne peuvent vraiment pas se passer d’un dessert, une petite compote de pomme (sans sucre ajouté) ou un yaourt nature (brebis, coco ou soja) pourront faire office de transition.

Bannissez les sucres raffinés

Enfin, je vous invite à bannir le sucre blanc de votre alimentation à partir d’aujourd’hui. Préférez les sucres naturels ou au moins complets (rapadura, miel, sirop d’agave, …) en tâchant d’en diminuer au maximum les quantités. En revanche, ne remplacez pas le sucre par des édulcorants de synthèse qui ne font que tromper l’organisme sur une quantité de sucre ingérée et risquent d’engendrer encore plus de problèmes.

Quelques compléments alimentaires pour vous soutenir

Pour vous soutenir dans ce sevrage du sucre, je vous conseille de prendre du chrome (en oligo-élément),
Il existe également une plante assez fantastique originaire d’Extrême-Orient. Le Kudzu est utilisé depuis des milliers d’années dans la médecine chinoise pour soigner les addictions, telle que celle que nous avons avec le sucre, mais également l’alcool, la cigarette, … Il intervient au niveau neuronal sur le système de récompense et stimule la productions d’hormones du bien-être. Il agit donc aussi dans les cas de stress aigu lié aux addictions et au sevrage. En chinois, kudzu signifie : dissipateur d’ivresse, il peut donc être un formidable allié ! (respectez les posologies indiquées sur la boite de compléments alimentaires que vous allez pouvoir trouver (magasins bio ou parapharmacie).

Deux précieux outils pour soutenir les familles confinées

Enfin nous avons vu, il y a 3 jours, comment transformer l’émotion de la colère.
Une fois que chacun est apaisé, il est possible de discuter et de dénouer les tensions, tenter de résoudre les conflits. Voici un lien pour vous aider à résoudre ces conflits familiaux. Cette méthode de résolution de conflit est un outil que je recommande, elle fonctionne bien dans notre famille.

Enfin, si cela vous dépasse, mon amie Nathalie Albeau, professionnelle en coaching parentale, intervient au sein d’un réseau de 50 professionnels de la parentalité du Réseau Filliozat et 30 psychologues spécialistes de la prévention du burn out parental. Avant le burn out, vous pouvez les appeler. Composez le 0805 827 827 pour discuter (gratuitement) avec des professionnels et bénéficier d’écoute et de réconfort.

Je vous souhaite à tous une belle et douce fin de journée !

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